1.7.10

M. R.

décidément la musique de Ravel (certains passages seulement) pourrait très bien convenir à un film noir. D'ailleurs il me semble impossible que Bernard Herrmann ne lui ait pas fait quelques emprunts. Les cinéastes, qui n'ont guère d'imagination, se sont surtout contentés jusqu'à maintenant d'utiliser jusqu'à plus soif la scie de Ravel, son sempiternel Boléro, qui est bien le seul de ses morceaux que je n'aime pas. Ça avait néanmoins fourni à Blake Edwards le thème central (unique ?) de sa comédie romantique, 10, que j'avoue avoir bien oublié…

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no entiendo