"il m'a fallu beaucoup contempler d'ombres pour pouvoir faire avancer mon rêve d'ombres. Et ensuite il m'a fallu beaucoup de rêve et de contemplation pour mettre les deux ensemble, et véritablement voir dans les ombres ce que je voyais dans mon rêve" C. C.
9.3.10
alicesanscooper
† agréablement surpris par l'Alice de Burton, malgré le prologue et l'épilogue banals, malgré le 3D fatigant, malgré quelques longueurs romantocs, malgré le côté imperturbablement réac de gauche du cinéaste. Sa façon de tirer le classique de Carroll vers le gothique moyenâgeux est infiniment personnelle. Son Alice devient un personnage d'heroic-fantasy. Ça ressemble à bien des films contemporains, de Shrek à Harry Potter en passant par Le seigneur des anneaux, mais Burton les surpasse tous par son goût exquis (dont il abuse parfois)
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no entiendo