19.3.10

act

wouah, La comtesse de Julie Delpy, ze daube ! Non seulement ça confirme ce que je disais des films d'acteur/actrice, mais ce clafoutis sans âme ni raison m'a fait reconsidérer ce que je pensais sur d'autres films d'actrices récents. Comme à chaque fois c'est pire, j'ai remis Valérie Donzelli au sommet de la pyramide avec sa Reine des pommes, qui reste ce qu'on a vu de plus libre et frappé dans la catégorie. Ensuite je mettrais Judith Godrèche avec ses filles qui pleurent pas hyper excitantes, mais bon. Et tout en bas, la brave Julie Delpy, avec ce téléfilm de luxe international. Je n'avais vu que son premier essai semi-improvisé à LA, assez amusant, aux antipodes de cette illustration historique impersonnelle et dévitalisée. J'ai bien envie de tourner un film historique pour montrer ce qu'on pourrait faire dans ce domaine, mais que personne ne tente. Comme s'il fallait faire des chichis et multiplier les dialogues ampoulés lorsqu'on reconstitue le passé. Le blabla dans La comtesse est assourdissant de vacuité

j'entame une recension de tous les cinéastes géniaux/intéressants/singuliers/formidables, qui ne tournent pas ou très rarement ou pas assez. La plupart de mes cinéastes préférés sont empêchés d'une manière ou d'une autre de travailler.
Pour commencer avec ce qui me vient à l'esprit : les frères Quay, Aurélia Georges, David Lynch, Lucile Chaufour, Jose-Luis Guerin, Lisandro Alonso, Cristi Puiu, Peter Mettler, Béla Tarr, Katsuhito Ishii,— A SUIVRE (il y en a plein d'autres)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

no entiendo