k (j'ai finalement repêché ça de ma col non publiée de L'Huma. Au moins ça ne sera pas perdu pour tout le monde)
les beaux gosses, comédie potache de Riad Sattouf, qui joue en virtuose avec le mauvais goût, fait l'unanimité tout simplement parce qu'il propose l'équivalent français du sous-genre “affreux, sale et ado” popularisé par Hollywood (avec American Pie). De là à se pâmer à propos de cette simple histoire de branlette et de boutons, il y a un abîme qu'on se gardera de franchir, tant cela semble régressif et peu spécifique à notre époque. Car cette comédie n'est que l'énième avatar d'une thématique jadis illustrée par Pascal Thomas (Les zozos), puis Patrick Schulmann (P.R.O.F.S) ou Claude Zidi (Les sous-doué). Ce qui gêne n'est pas l'humour trash, ni la vision acérée des pulsions élémentaires des collégiens, mais un naturalisme trop vague et intemporel
les beaux gosses, comédie potache de Riad Sattouf, qui joue en virtuose avec le mauvais goût, fait l'unanimité tout simplement parce qu'il propose l'équivalent français du sous-genre “affreux, sale et ado” popularisé par Hollywood (avec American Pie). De là à se pâmer à propos de cette simple histoire de branlette et de boutons, il y a un abîme qu'on se gardera de franchir, tant cela semble régressif et peu spécifique à notre époque. Car cette comédie n'est que l'énième avatar d'une thématique jadis illustrée par Pascal Thomas (Les zozos), puis Patrick Schulmann (P.R.O.F.S) ou Claude Zidi (Les sous-doué). Ce qui gêne n'est pas l'humour trash, ni la vision acérée des pulsions élémentaires des collégiens, mais un naturalisme trop vague et intemporel
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no entiendo