25.5.10

télé/ciné/dvd

j’ai la télévision depuis 1997-98 environ (uniquement les 5 chaînes hertziennes), mais je ne regarde jamais de films (des bouts parfois) et rarement des séries. Idem pour les DVD. J’en ai accumulé pas mal grâce ou à cause de mon travail, mais je ne m’en suis jamais acheté. Certes, j’en ai offert. Contrairement à la génération actuelle (et à la précédente) je n’ai pas biberonné au petit écran. Dans mon enfance nous n’avions pas de télé à la maison. Nous allions au cinéma. Mes parents n’ont acheté un téléviseur que lorsque je suis parti, à 18 ans. Après, je n’avais pas de télé non plus. J’écoutais beaucoup la radio et à une période j’allais au cinéma tous les jours (j’avais des cartes gratuites des cinémas Action et Olympic : merci Causse et Rodon ; merci Frédo). Moralité : je n’arrive quasiment pas à suivre un film sur un petit écran (même si j’y suis parfois contraint pour écrire un article). Trop de distractions. Je ne sais pas comment certains arrivent à regarder les films sur Internet dans des versions piratées d’une qualité immonde. Comment peuvent-ils écrire sur des films vus dans des conditions aussi déplorables ? Je ne vais pas sortir le couplet nostalgique sur la salle de cinéma, mais il faut bien dire que le fait de se déplacer et de s’asseoir dans une salle obscure fait beaucoup pour la force et le mystère du cinéma. Le contenu n’est pas tout. Le cadre compte énormément. Mais bon, tout est relatif. J’ai par exemple adoré découvrir une flopée de courts métrages en DVD des frères Quay que ceux-ci ont gravé spécialement pour moi lorsque je leur ai rendu visite à Londres en 2008. Depuis des années, j’ai envie de revoir Vampyr de Dreyer — je ne l'ai vu qu'en VHS incomplète. J’attends qu'il soit réédité pour le voir en salle, mais ça n’arrive jamais. Je pense donc me résoudre à acheter le DVD du film, ce qui serait déjà bien. Dire que dans ma prime jeunesse nous étions allés en bande à la Cinémathèque pour voir Vampyr. Mais nous n’étions restés que cinq minutes ! Bête époque punk

depuis Spinal Tap (film surestimé) de Rob Reiner, difficile de prendre au sérieux un documentaire sur le hard rock/heavy metal . Pourtant, après celui sur le groupe Anvil, sorti l'an dernier, on en annonce un autre sur Rush (Rush : beyond the light), groupe qui existe depuis la fin des années 1960 et qui, semble-t-il, est encore très populaire en Amérique du Nord. Je ne connaissais pas. Rush comme Anvil sont Canadiens. Cinématographiquement parlant il semble que le film sur Anvil (je ne l'ai pas vu) soit un chouïa plus intéressant

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