16.7.09

+sur--réel+


k j'ai (enfin) fait un grand effort hier soir pour suivre les deux derniers épisodes de Fringe. Je dois dire que rien ne m'a accroché. On n'est jamais très loin de l'ambiance des X-Files d'antan, en plus policier peut-être. Rien compris non plus. S'il faut se farcir dix épisodes pour commencer à entraver quelque chose… Le grand apport de J.J. Abrams aux séries télé a été le gommage de la frontière traditionnelle entre bons et méchants (sans doute n'est-il pas le premier, mais chez lui c'est systématique). Mais est-ce suffisant ? Parfois on dirait que le sujet ce sont les incessants et inévitables tours de passe-passe entre espace et temps. N'est-ce pas une forme de rhétorique ou de sophisme cinématographique (ou plutôt télévisuel) ? En tout cas, on ne m'y reprendra plus. Heroes jouait déjà un peu trop au malin et m'avait vite lassé. Mais il y avait au moins un joli ludisme, une imagerie assez proche de la BD. Fringe est peut-être génial, dans le fond, mais je ne suis pas assez d'attaque à minuit chaque mercredi pour examiner ça en détail. A cette heure là, ça me tombe des yeux (naturellement je n'ai que les chaînes hertziennes et suis incapable soit d'enregistrer soit de télécharger l'émission sur le net)

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