P.S. l'explication de cette prouesse technique, qui est en soi une révolution — un film de SF spectaculaire tourné avec un budget de court métrage — réside sans doute dans le fait que Edwards est à l'origine un spécialiste d'effets spéciaux numériques. Autrement dit, les films vont de plus en plus être fabriqués en post-production, c'est à dire après le tournage
"il m'a fallu beaucoup contempler d'ombres pour pouvoir faire avancer mon rêve d'ombres. Et ensuite il m'a fallu beaucoup de rêve et de contemplation pour mettre les deux ensemble, et véritablement voir dans les ombres ce que je voyais dans mon rêve" C. C.
18.8.10
m
† sur le papier (et la bande annonce), ça a l'air d'un d'hybride de District-9, le film de SF sud-africain, de la mémorable farce fantastique sud-coréenne The Host, de La guerre des mondes de Spielberg/Wells, de l'adaptation de La route de Cormac McCarthy, du film apolyptico médical Infectés, et du Godzilla/Dogme de JJ Abrams, Cloverfield. Pourtant, malgré ce tombereau d'influences, Monsters, film de science-fiction britannique (semble-t-il) tourné au Texas et en Amérique latine, pour (dit-on) 15 000 $ par l'inconnu Gareth Edwards, seul à la caméra, avec en sus un preneur de son, me semble vraiment alléchant. Bande annonce : clic
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