† sur mon blog annexe, la version très réduite d'un ancien entretien avec Georges Franju (disparu en 1987). Sans nul doute mon premier entretien avec un cinéaste. J'enrage de ne pas avoir retrouvé l'enregistrement, ni la version in extenso. Peut-être un jour. Par la même occasion j'avais photographié le bougre dans son jardin de Saint-Cloud, impeccablement mis, costard-cravate avec une splendide chemise rouge (hélas c'était du noir et blanc). Je poste pour l'instant une photo de photo, en attendant de scanner l'original (clic ®)
P.S. Un jour je taperai au hasard sur mon clavier pour voir combien de pékins accourent dès que j'ai "posté" quelque chose. Ça me fait penser aux pigeons à l'affût des moindres miettes qui tombent du sandwich d'un quidam assis sur un banc public. Tout ce que j'écris n'est pas forcément intéressant ni signifiant, ni même assez débile pour qu'on puisse systématiquement se tordre de rire. En ce moment, je ne suis pas spécialement disposé à écrire quoi que ce soit. C'est aussi l'intérêt d'un blog, de ne répondre à aucune nécessité, à aucun mouvement autre que le simple caprice
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