† je viens de voir la bande annonce d'un film intitulé Great directors, signé par une nommée Angela Ismailos, qui a interviewé une ribambelle de cinéastes célèbres ou oubliés. Ça m'a fait comprendre une chose : les artistes sont des guignols patauds. Voir ces réalisateurs imbus d'eux-même, confortés dans leur fatuité, presque contraints à dire ces phrases creuses
"il m'a fallu beaucoup contempler d'ombres pour pouvoir faire avancer mon rêve d'ombres. Et ensuite il m'a fallu beaucoup de rêve et de contemplation pour mettre les deux ensemble, et véritablement voir dans les ombres ce que je voyais dans mon rêve" C. C.
21.4.10
a
† je ne sais pas d'où ça sort —> clic . Le clip de la chanson Demon Narrator du groupe Country Death, utilisant des images du film inconnu My Demon Lover (1987) d'un certain Charlie Loventhal. (Rien à voir avec Assayas.) En tout cas la conjonction de la musique, merveilleuse, quelque part entre Arcade Fire et Will Oldham, et des images, fantastique cheap et génialement inventif, ludique, m'a presque rappelé certains films de Kenneth Anger, qui a toujours été pour moi un grand pionnier du clip (ce qui est certes réducteur)
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