k the limits of directing and framing, the limits of name-dropping and guest-starring, the limits of TOURISM, the limits of Jim Jarmusch
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P.S. je dis souvent que mes films préférés sont en noir et blanc (ce n'est pas complètement vrai) et je pense que les meilleurs films de Jarmusch sont aussi en noir et blanc. Mais ça n'est pas absolu non plus car, dans l'ensemble Coffee and cigarettes — en noir et blanc — est faiblard, et Year of the horse — en couleurs — est un de ses meilleurs films. Ghost Dog — en couleurs — est tangent. Evidemment, Dead Man, chef d'œuvre de JJ est bien en noir et blanc. Désolant de penser qu'il va peut-être encore tourner une dizaine de films (au mieux une quinzaine) mais qui jamais ne feront oublier Dead Man. Impossible. Evidemment, j'espère être contredit un jour. J'espère
P.P.S. J'ai moi même réalisé quelques courts métrages (et un long), couleur et noir et blanc, et ma balance subjective penche également du côté noir et blanc. De là à en faire une loi… Je remarque juste que le noir et blanc a mauvaise presse et que c'est une grande injustice
k Clones c’est beau comme du veau
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no entiendo